Au début, il faut que les coureurs arrivent à équilibrer la joélette. Sinon, on se laisse porter, » déclare Catherine qui n’éprouvent pas d’appréhension particulière, si ce n’est la joie de partager les mêmes joies que les coureurs: « les endroits où on courent sont en pleine nature. Cela nous fait redécouvrir la nature comme avant. On profite vraiment des endroits. On ressent les mêmes émotions que les coureurs et ça nous fait oublier le handicap. »
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